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Manoeuvres grandeur nature d’une attaque cybernétiques aux Etats-Unis

Les guerriers cybernetiques américains se sont lancés ce mardi 28 septembre 2010 dans une bataille cybernétique virtuelle, lors d’un exercice destiné à tester la résistance du pays à une attaque massive qui viserait l’infrastructure informatique.

L’exercice biennal, baptisé « Cyber Storm III », implique des employés de sept ministéres américains, y compris le Pentagone, onze Etats, soixante sociétés privées et douze partenaires internationaux (Australie, Canada, France, Allemagne, Hongrie, Italie, Japon, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Suéde, Suisse et Royaume-Uni).

Organisé par le ministére de la sécurité intérieure, il représente la premiére occasion de tester le nouveau Centre national d’intégration de la cybersécurité et des communications, lancé en octobre 2009, qui coordonne des experts des secteurs privé et public.

Le directeur de l’exercice « Cyber Storm III« , Brett Lambo, a expliqué qu’il s’agissait uniquement d’une simulation.

Citation:

« Nous n’attaquons aucun réseau réel, a-t-il dit lors d’une présentation à des journalistes avant le début de l’exercice, nous n’injectons pas de
virus
. »

Les participants à l’exercice, d’une durée de trois à quatre jours, recevront plus de mille cinq cents attaques simulées, qu’ils devront combattre comme s’il s’agissait d’adversaires d’origine inconnue.
Les attaques viseront « des fonctions essentielles de l’administration et du secteur privé« , selon le ministére, mais aussi le systéme de gestion des noms de domaine.

L’exercice, conçu par le Pentagone et la
NSA
, l’une des composantes les plus secrétes du systéme de renseignement américain, est contrôlé au siége du service de protection des personnalités, le Secret Service, à Washington.

A la mi-septembre 2010, le numéro deux du Pentagone, William Lynn, avait plaidé pour l’organisation d’une cyberdéfense commune, dans le cadre de l’OTAN, similaire au bouclier antimissile de la guerre froide.

Voir aussi:

Un siécle de sécurité informatique, radio, télécommuniucation

Les Etats-Unis vont simuler une cyber-guerre

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L’armée américaine veut réinventer l’informatique

Créer un ordinateur 100 à 1.000 fois plus efficace que ceux que nous connaissons aujourd’hui, c’est l’objectif que s’est fixée la Darpa (Defense Advanced Research Projects Agency), le laboratoire technologique de l’armée américaine.

Pour développer l’ordinateur du futur, l’agence américaine estime qu’il est nécessaire de revoir les fondamentaux de l’informatique.

(Le Jaguar, conçu par Cray Inc., est l’ordinateur le plus puissant existant.)

A l’heure actuelle, note la Darpa, la loi de Moore (le postulat que le nombre de transistors par puce, et donc la puissance théorique d’une machine, double tous les deux ans) reste vraie.

Insuffisant, estime l’armée américaine, qui pense que ses besoins en termes de capacités de calcul vont exploser dans les prochaines années.

Pour démultiplier les possibilités des ordinateurs, il faut donc aller chercher ailleurs.
L’agence souhaite développer des ordinateurs hautement programmables, extrêmement performants et dont les calculs nécessiteront beaucoup moins d’énergie qu’aujourd’hui.
L’efficacité énergétique permet notamment d’éviter la surchauffe des composants.

Un milliard de milliards de calculs par seconde

Mais pour atteindre ce but, la Darpa estime qu’il est nécessaire de réinventer l’informatique, en repensant à la fois l’architecture physique des machines et leurs modéles de programmation.

L’agence travaillera en collaboration avec:

– Le spécialistes des microprocesseurs Intel
– Le constructeur de cartes graphiques Nvidia
– Le Massachusetts Institute of Technology
– Le Sandia National Laboratory.

A terme, ce consortium estime pouvoir développer une machine capable d’effectuer un milliard de milliards de calculs par seconde, dans le meilleur des cas, soit une machine presque 600 fois plus puissante que le Jaguar, l’actuel ordinateur le plus puissant au monde

Comme de nombreux projets de la Darpa, ces recherches structurelles pourraient avoir de nombreuses applications, y compris pour le grand public, c’est dans ce laboratoire de l’armée qu’ont été mis au point, entre autres, la technologie GPS et l’Arpanet, l’ancêtre d’Internet.

Il faudra cependant patienter pour voir les premiéres applications concrétes, le projet ne doit aboutir qu’en 2018.

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Facebook et Google poursuivis pour violation de brevet

Wireless Ink a porté plainte auprés d’un tribunal de Manhattan contre le deux géants en les accusant d’utiliser son brevet portant sur l’accés à un réseau social depuis un terminal mobile.

Selon le site Bloomberg, « Facebook Mobile » et « Google Buzz » sont dans le collimateur de la société new-yorkaise « Wireless Ink » qui accuse ces deux services d’utiliser ind?ment son brevet.

Délivré en octobre 2009, celui-ci décrit un systéme qui permet de rejoindre un réseau mobile depuis un terminal mobile.

Wireless Ink qui développe des sites web pour mobiles avec fonctions de réseautage, affirme qu’il utilise l’application couverte par ce brevet depuis 2004.

Citation:

Selon lui, « Facebook et Google ne pouvaient l’ignorer étant donné le temps et les ressources qu’ils ont investis dans leurs sites web et versions mobiles« .

Wireless Ink demande au tribunal de suspendre l’usage de son invention et veut obtenir une compensation financiére.
Facebook comme Google ont tous les deux déclaré être en train d’étudier la plainte sans faire plus de commentaires.

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Vidéo de Violences sur un étudiant trisomique, Google est condamné a la prison avec sursis

Sévére sanction en Italie o? plusieurs dirigeants de la firme Google ont été condamnés à quelques mois de prison pour avoir permis la mise en ligne d’une vidéo choc.

En 2006, la vidéo d’un adolescent trisomique giflé par ses camarades de classe suscitait l’indignation des internautes.

Restée pendant presque deux mois sur le canal Google Vidéos, elle figurait même parmi les vidéos les plus cliquées.
Peu de temps aprés la diffusion de ce clip, les quatre éléves à l’origine de ce méchant jeu de claques sur un jeune handicapé avaient été exclus de leur lycée turinois jusqu’à la fin de l’année scolaire.

Saisie sur cette affaire, la justice a rendu son verdict et met en cause la firme pour avoir autorisé la publication de cette vidéo.

Trois hauts responsables de Google Italie ont donc été condamné par le tribunal de Milan à six mois de prison avec sursis pour complicité de diffamation et atteinte à la vie privée.

Une décision vivement critiquée par le géant Google qui clame son innocence.

Bill Echikson, le porte-parole du groupe proteste:

Citation:

« Aucun de ces trois employés n’avait quoi que ce soit à voir avec cette vidéo.
Ils ne l’ont pas mise en ligne, ils ne l’ont pas filmée, Ils ne l’ont pas vérifiée
« .

C’est justement sur ce dernier point que la justice reste intransigeante
Google compte bien faire appel.

Citation:

Je donnerais évidement pas le lien vers la vidéo pour dais raisons que vous comprendrez (inutile de donner des visites a cette vidéo).

j’aurais ce mec en noir devant moi je lui ferais ca fête que ca mére le reconnaÓtrais même pas!!!!!! :@:@
Ils sont plus rapide pour supprimer les clips vidéo pour violations des droits d’auteurs que ce genre de vidéo mesquines!!

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Le FBI enquête sur des webcams activées à lêinsu de lycéens

Tout débute lorsqu’un district académique situé en Pennsylvanie (Lower Merion School District) prête aux éléves du lycée Harriton (Harriton High School, regroupant des enfants de milieux aisés) des ordinateurs portables avec webcam intégrée.

Cet accessoire vidéo est la source de tous les maux depuis qu’une famille a déposé une plainte.

Motif:

Le district académique aurait cherché à s’introduire dans la vie privée en surveillant discrétement leur enfant inscrit à ce lycée, en utilisant la caméra.

L’école est notamment suspectée d’avoir installé par défaut un logiciel espion sur les ordinateurs pour activer à distance leur caméra afin de surveiller l’éléve et sa famille.

L’affaire s’est emballée lorsque l’école a convoqué un éléve pour lui reprocher le mauvais comportement qui avait été observé devant son ordinateur… en étant connecté depuis son domicile.

En guise de preuve, des responsables du lycée lui ont montré des captures d’images.

Quand le FBI s’en mêle.

Pister, écouter et espionner des éléves dans leur vie privée, un nouveau pas franchi par cette école ?

Le FBI et le bureau du procureur fédéral ont déclenché une enquête pour déterminer les responsabilités et la légalité de cette opération.

Les autorités n’ont pas souhaité faire de commentaires pour l’instant, mais Mike Walker, un consultant en sécurité chez intrepidus Group a indiqué sur
son blog
qu’il avait identifié l’administrateur du district académique soupçonné d’avoir supervisé la surveillance des éléves.

Mike Walker porte également ses soupçons sur le logiciel utilisé qui permettait d’espionner les ordinateurs connectés à Internet et de capturer les images des éléves.

Pour aller plus loin, le consultant donne
le moyen de détecter
si un logiciel de type « LANRev » est installé sur la machine et s’il transmet des données à l’insu de l’utilisateur.

Mike Walker a demandé aux familles concernées

Citation:

« De retirer le disque dur des ordinateurs portables de leurs enfants et ne plus relier l’ordinateur à un réseau quelconque” et ce pour préserver les preuves numériques que l’équipe d’encadrement de l’école pourrait faire disparaÓtre avec un script LanREV”.

Citation:

Selon The Philadelphia Inquirer, un juge fédéral a interdit dans une ordonnance en date du 22 février 2010 que le district académique modifie le logiciel sur les ordinateurs portables et exige que toutes les preuves numériques soient préservées.

Quoi qu’il en soit le mal est fait, car un représentant de l’école a déjà reconnu que les webcams avaient été activées à 42 reprises

Petit conseil:
Vous utilisez pas votre webcam ?
A ce moment la inutile quelle soit connecté a votre ordinateur

(source:


itespresso

)

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