Résultats de recherche pour : NSA

Divers

Anonymous trahi par un de ses membres

Mardi, cinq membres influents du groupe LulzSec, une cellule importante d’Anonymous, ont été arrêtés au Royaume-Uni et aux …tats-Unis.

Ce coup de filet serait le résultat d’une longue coopération du FBI avec le pirate Sabu, connu pour être un des chefs de LulzSec, qui serait en vérité Hector Xavier Monsegur (alias Sabu), un pére new-yorkais de 28 ans.

Selon la Fox News, Sabu collaborerait avec le FBI depuis l’été 2011, moment o? la police fédérale américaine l’aurait arrêté.

En ao?t dernier, il aurait plaidé coupable à douze accusations de piratage et aurait, depuis, aidé quotidiennement les autorités à miner Anonymous de l’intérieur.

Selon une source de Fox News qui serait prés de Sabu, celui-ci aurait accepté de collaborer pour être en mesure de continuer à voir ses enfants.

Le journaliste Sam Biddle, du site Gizmodo, ne semble pas surpris d’apprendre que Sabu était en fait une taupe, selon lui, ses conversations avec Sabu étaient de plus en plus distantes et il devenait difficile à joindre.

Le pirate « Virus » lui aurait révélé, en ao?t dernier, avoir des soupçons sur Sabu, ce dernier lui ayant offert de l’argent pour qu’il accéde aux mails de la firme Backtrace Security et Laurelai, un pirate qui a aussi été soupçonné d’être une taupe.

Les pirates arrêtés seraient:

– Ryan Ackroyd (alias Kayla 23 ans)
– Jake Davis (Alias Topiary 29 ans)
– Darren Martyn (alias pwnsauce 25 ans)
– Donncha O’Cearrbhail (Alias palladium 19 ans)
– Jeremy Hammond (alias Anarchaos).

Ce dernier serait suspecté d’être responsable du piratage de la firme Stratford, dont les courriels ont été coulés à Wikileaks.

Sur le site de micromessages Twitter, le compte @youranonnews réagit:

Citation:

« Ne l’oubliez pas: nous sommes légion. Nous n’avons pas de leader, et nous n’en aurons pas. »

Comme a chaque fois ils font les kings et ce prennent pour de grand hackers, mais se font avoir a chaque fois je suis plier de rire!!.

Voir aussi:

Panda Security piraté en représailles des arrestations d’anonymous

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Internet

La publicité ciblée sur Internet pourra bientôt être désactivé

Une coalition de régies publicitaires, dont Google, acceptera bientôt de désactiver le ciblage gr‚ce à une simple option dans les navigateurs internet.

Les internautes qui cherchent à acheter un téléviseur sur un site d’e-commerce pourront bientôt refuser que des publicités pour des télés s’affichent sur la plupart des autres sites qu’ils visitent, d’un simple clic.

Mercredi, une large coalition d’acteurs d’Internet, dont Google, Microsoft et Yahoo, a annoncé l’adoption d’un code de conduite encadrant la publicité ciblée, cette pratique, contestée mais largement répandue sur Internet, consiste à suivre la navigation des visiteurs d’un site et à adapter les publicités en fonctions de leurs habitudes.

D’ici à la fin de l’année, les 400 membres de la Digital Advertising Alliance, qui représentent 90% des annonces ciblées diffusées sur Internet, s’engagent donc à ne plus cibler, dans un but publicitaire, les internautes qui en font la demande depuis leur navigateur.

Une option existe déjà pour signifier ce refus dans Firefox, Opera, Internet Explorer et Safari, il s’agit du réglage dit « 
Do Not Track
« .

Mais seules quelques régies de second plan se conformaient pour l’instant à cette instruction.

Le numéro un de la publicité en ligne, Google, s’y opposait fermement, et refusait même d’inclure le réglage dans Chrome, pour échapper au ciblage, il fallait installer des extensions tierces, comme « Do Not Track Plus »

Confronté à de récentes polémiques sur son ciblage publicitaire et sur sa
nouvelle politique de confidentialité
qui entrera en vigueur le 1er mars 2012, Google a profondément assoupli son discours.

Dans le Wall Street Journal, une responsable de la publicité chez Google promet désormais que le réglage « Do Not Track » sera ajouté à Chrome dans les prochains mois et se dit ravie de rejoindre cette initiative, largement soutenue par le secteur.

Citation:

« C’est indéniablement un grand pas en avant », se réjouit Tristan Nitot, le président de Mozilla Europe.

Le navigateur Firefox a été le premier à adopter ce réglage, et qui avait déjà été l’un des premiers à bloquer les pop-up, il y a dix ans.

La situation a en fait brusquement évolué gr‚ce à des pressions politiques aux …tats-Unis.

Jeudi, l’administration Obama a dévoilé un projet de « charte pour la protection des données des consommateurs ».

Citation:

Ce texte, prélude au vote d’une loi au Congrés, veut garantir « le droit des consommateurs à exercer un contrôle sur les données personnelles qui sont collectées puis utilisées sur Internet ».

Il n’a pas encore de valeur contraignante, et n’oblige pas à respecter le « Do Not Track », mais les acteurs de la publicité sur Internet ont préféré montrer dés à présent leur bonne volonté, pour ne pas risquer le vote d’une législation trop dure.

Le « Do Not Track » n’empêchera toutefois pas le recueil des données à des fins de recherche.

Citation:

Dans une note de synthése publiée sur le sujet, la
Cnil
expliquait que le systéme « Do Not Track », en cours de déploiement, pouvait justement permettre « de répondre à la loi, à condition d’être activé par défaut sur les navigateurs ».

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Divers

Huit mois de prison pour avoir piraté Facebook

Un étudiant britannique en programmation informatique a été condamné, vendredi 17 février 2012 en Angleterre, à huit mois de prison pour avoir piraté le géant des réseaux sociaux Facebook, une affaire qui avait déclenché une enquête du
FBI
.

Glenn Mangham, 26 ans, a reconnu avoir piraté Facebook entre avril et mai 2011 depuis la maison de ses parents à York, dans le nord de l’Angleterre.

Citation:

Il a expliqué qu’il entendait ainsi démontrer les faiblesses du systéme de sécurité du site, il a affirmé qu’il avait auparavant fait de même avec le portail internet de Yahoo! et avait ensuite prévenu la société pour les informer des défauts de leur site.

Il aurait pu détruire toute l’entreprise, selon le procureur

Le procureur, Sandip Patel, a rejeté les allégations du jeune homme, n’acceptant pas que le piratage de Facebook « ne soit autre chose que malveillant ».

Citation:

Glenn Mangham a « agi avec détermination, une ingéniosité indubitable et dans un esprit calculateur », a estimé le procureur.

« C’est le plus grave et le plus important incident de piratage d’un réseau social auquel la justice britannique n’a jamais été confrontée », a-t-il affirmé.

L’étudiant aurait pu détruire « toute l’entreprise » Facebook et avait fait craindre à un espionnage industriel.

Facebook a dépensé 200.000 dollars (153.000 euros) pour élucider l’affaire, qui avait donné lieu à une enquête concertée, longue et chére de la part de la police fédérale américaine et des autorités britanniques.

Citation:

Les actions de M. Mangham ont eu de « réelles conséquences et des conséquences éventuellement trés graves », qui auraient pu être « absolument désastreuses » pour Facebook, a estimé le juge Alistair McCreath. « Une peine de prison est indispensable », a-t-il ajouté.

Lire toutes les actus facebook

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Internet

Le Canada renforce la surveillance d’Internet

Le gouvernement canadien a présenté, mardi 14 février 2012, un projet de loi donnant à la police plus de droits pour surveiller les communications sur Internet.

Ce projet attire les critiques de l’opposition et de défenseurs des libertés, rapporte notamment le quotidien Le Devoir.

Le gouvernement conservateur a présenté cette initiative comme un moyen indispensable de combattre la pornographie infantile sur le Web, citant des exemples de fournisseurs d’accés qui n’ont livré les renseignements demandés qu’au bout de plusieurs jours.

Citation:

« Les nouvelles technologies offrent de nouveaux moyens de commettre des crimes, qui rendent les enquêtes plus difficiles », a déclaré le ministre de la justice, Rob Nicholson, lors d’une conférence de presse.

Le texte autorise notamment un agent de police à installer, sans mandat judiciaire, un dispositif permettant de relever l’adresse IP d’un internaute, il impose aussi aux fournisseurs d’accés de recueillir et garder certains renseignements.

Vive critique de l’opposition

Les conservateurs du premier ministre, Stephen Harper, disposant de la majorité au Parlement, la loi devrait être adoptée sans difficulté.

Les partis d’opposition et les groupes de défense des libertés civiles ont affirmé de leur côté que le texte offrait à l’Etat trop de possibilités de s’ingérer dans la vie privée des internautes.

La commissaire à la protection de la vie privée Jennifer Stoddart, qui ne dépend pas du gouvernement, a adressé en octobre 2011, une lettre au ministre de la sécurité publique, Vic Toews, pour lui faire part de sa « profonde inquiétude ».

Citation:

« En renforçant le dispositif légal de l’Etat en vue de surveiller les contenus privés et d’y accéder, et en réduisant le contrôle judiciaire », la loi permettra au gouvernement de « soumettre plus de personnes à une surveillance minutieuse », a-t-elle écrit.

(source;lemonde)

Voir aussi:

L’ACTA, la future loi mondiale anti-piratage ?

Tous les articles sur La loi SOPA ET PIPA

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Divers

La Belgique pourrait riposter en cas de cyberattaques

Le ministére de la Défense belge s’est muré ce lundi dans un silence visiblement gêné à propos de la possibilité dont dispose désormais le service de renseignement (
SGRS
) de l’armée de non seulement « neutraliser une cyberattaque qui la viserait », mais aussi de « riposter », comme l’affirme le journal ‘Le Soir’.

« Aucun commentaire », ont répété sur tous les tons plusieurs porte-parole, expliquant que cette question concerne le SGRS (Service général du renseignement et de la sécurité), la division de l’état-major entourée du plus grand secret.

La loi passée discrétement le 4 février 2010 donne à ce service de renseignement (l’équivalent militaire de la S?reté de l’Etat, qui est elle responsable du territoire belge) un « droit de riposte offensif » en cas de cyberattaque venant de l’étranger.

Cette loi relative aux méthodes de recueil des données par les services de renseignement et de sécurité stipule en effet:

Citation:

« Que dans le cadre des cyberattaques de systémes informatiques et de communications militaires ou de ceux que le ministére de la Défense nationale gére, le SGRS a le droit de neutraliser l’attaque et d’en identifier les auteurs, sans préjudice du droit de réagir immédiatement par une propre cyberattaque, dans le respect des dispositions du droit des conflits armés. »

Citant une source trés haut placée dans le dispositif belge de renseignement, le quotidien ajoute que SGRS dispose d’une telle capacité en propre, tout comme la possibilité d’intercepter des communications militaires à l’étranger pour défendre les intérêts militaires de la Belgique.

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Internet

Les géants du Web envisagent une coupure pour protester contre la loi SOPA

Pour protester contre le
projet de loi américain antipiratage SOPA
et alerter les internautes, les grands services en ligne, dont Google, Facebook et Twitter, envisagent une interruption coordonnée, un « blackout ».

Le projet de loi américain SOPA envisage d’accorder à l’administration américaine le pouvoir d’imposer aux intermédiaires techniques (FAI, moteurs de recherche, régies publicitaires… ) des mesures de rétorsion à l’encontre de sites considérés comme facilitant le téléchargement illégal.

Les grands noms des services en ligne:


Google


Facebook


Yahoo


Yahoo


Twitter


LinkedIn


Mozilla

– Autres…
y sont hostiles.

Pour protester contre cette initiative législative soutenue par les Majors et les studios hollywoodiens (
lobby
), et illustrer les risques de l’adoption d’un tel dispositif, le fondateur de Wikipedia Jimmy Wales suggérait une coupure de l’encyclopédie en ligne, un blackout.

Une menace risquée à mettre en oeuvre

D’autres sites, dont Google, Facebook, Twitter et
Amazone
, rassemblés dans la
NetCoalition
, envisagent désormais eux aussi de couper leurs services pour alerter les internautes sur les possibles conséquences de la loi SOPA.

Cette hypothése est confirmée par le responsable de la NetCoalition, Markham Erickson.

Citation:

« Ce genre de chose ne se fait habituellement pas, les entreprises ne souhaitant pas mettre leurs utilisateurs dans une telle situation.

Mais la différence est que ces lois changent fondamentalement le fonctionnement d’Internet, les gens doivent comprendre l’impact qu’une telle législation aura sur ceux qui utilisent Internet » commente-t-il.

Mais cette option apparaÓt néanmoins comme un dernier recours en raison des conséquences, lourdes, qu’elle aurait à la fois pour les internautes et les services en ligne participant au blackout (mécontentement, pertes de revenus, etc…).

Clic pour plus d’infos sur la loi SOPA

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Divers

Des pirates dans l’espace pour combattre la censure

Les initiatives légales de nombreux pays commencent à faire craindre le pire aux utilisateurs du Web qui tiennent à leur liberté.

¿ un point tel que le Chaos Computer Club (
CCC
), un cercle de pirates cherchant à préserver la liberté de l’information située à Berlin, a mis sur pied un projet pour lancer leur propre satellite dans l’espace et créer un réseau alternatif qui pourrait contourner les législations nationales.

Le projet « Hackerspace Global Grid » fonctionnerait à partir de stations terrestres permettant de suivre le satellite dans l’espace tout en lui facilitant la t‚che dans la redistribution de l’information sur terre, un peu à la maniére d’un GPS inversé.

Pour un co?t d’environ 100 Euros, un prix que les gens intéressés seraient prêts à payer selon les responsables, on pourra se procurer ces petites stations et permettre ainsi le déploiement de ce réseau alternatif.

L’équipe espére être en mesure de présenter des modéles fonctionnels d’ici la fin de 2012.

En ce qui concerne le satellite, de nombreux problémes techniques se posent, mais le projet serait faisable, selon certains spécialistes interviewés par la BBC.

Déjà quelques amateurs ont lancé des satellites par le biais de ballons.

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Internet

Bras de fer entre Megaupload et Universal Music

En général, ce sont les ayants droits de l’industrie de la musique ou du cinéma qui portent plainte contre les sites de téléchargement, accusés de favoriser le piratage.

Mais ici c’est bien Megaupload, l’un des sites d’hébergement de fichiers les plus populaires, qui envisage de porter plainte contre Universal Music aux Etats-Unis, annonce le site spécialisé TorrentFreak, lundi 12 décembre 2011.

La semaine derniére, Megaupload a organisé une campagne de publicité, sous forme de clip musical.

Plusieurs artistes, comme P. Diddy, Will.I.Am, ou Snoop Dogg, contribuent à cette campagne de communication, expliquant qu’ils utilisent réguliérement le service.

Une vidéo, intitulée The Mega Song, a été mise en ligne sur YouTube et largement diffusée sur les réseaux sociaux.

Vifs débats sur le piratage

Citation:

Mais le clip a été bloqué sur la plate-forme de vidéos en ligne, à la demande des ayants droit. « Rien, dans notre chanson ou dans la vidéo n’appartient au groupe Universal Music.

Nous avons signé des accords avec tous ces artistes », dénonce un responsable de Megaupload, sur TorrentFreak.

Les artistes sous contrat n’ont pas le droit de faire la promotion d’une tierce partie sans le consentement de leur label, si Megaupload possédait bien les autorisations nécessaires, une telle entorse pourrait mettre les intéressés en porte-à-faux avec leur maison de disques.

Cette affaire intervient alors que les autorités américaines examinent le projet de loi SOPA (Stop Online Piracy Act), un texte qui permettrait notamment le blocage direct des sites suspectés de faciliter le piratage.

Clic pour voir la plainte de Megaupload
(fichier .PDF – anglais)

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Internet

Universal porte plainte contre le site de streaming Grooveshark

La maison de disques Universal a porté plainte auprés d’un tribunal de New York contre le site de diffusion musicale en continu (
streaming
) « Grooveshark », affirmant que les employés du service ont eux-mêmes chargé prés de 100.000 morceaux sur le site en violation des droits d’auteur.

Edité par le groupe Escape Media, Grooveshark propose aux internautes d’écouter les morceaux de leur choix et de constituer des listes de lecture, sur le modéle de Deezer.

Mais contrairement à Deezer, le site n’a pas signé d’accords avec les maisons de disques, à l’exception d’EMI, cependant, ce n’est pas pour contrefaçon qu’Universal a porté plainte contre Escape Media.

Citation:

« Les avocats d’Universal affirment détenir la preuve que les employés de la société ont eux-mêmes publié des morceaux sur Grooveshark sans en détenir les droits. »

Aux termes de la loi américaine, les sites comme Grooveshark ne sont pas directement responsables s’ils hébergent des morceaux illégalement, si ces derniers ont été publiés par des utilisateurs.

Ils doivent en revanche supprimer les fichiers contraires à la loi dans les plus brefs délais lorsqu’ils leur sont signalés

Citation:

Mais selon Universal, Grooveshark ne s’est pas contenté de diffuser des morceaux illégalement publiés par les utilisateurs, ses salariés auraient directement chargé 100.000 morceaux pour alimenter leur service.

En forte croissance depuis deux ans, si l’on en croit le nombre de recherches Google, Grooveshark a vu son application Android supprimée par Google de son magasin d’applications en ligne en avril 2011.

Accéder au site Groovshark

Voir aussi:

Comment les sociétés de droits d’auteurs ce goinfre sur le dos des artistes

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Divers

50.000 adresses mail belges et françaises ont été piratées

Au moins 50.000 adresses mail belges et françaises ont été piratées durant les derniers mois, une partie des données recueillies par les hackers circulent actuellement en ligne.

Seules des adresses ayant pour extension .be ou .fr sont concernées dans cette affaire.

Les adresses et les données relatives à celles-ci ont peut-être été vendues ensemble, ces informations peuvent ensuite servir à obtenir d’autres données ou à envoyer des courriers indésirables.

Cette vague de piratage porte la marque du célébre groupe de hackers Lulzsec-Anonymous, déjà responsable d’avoir piraté plus de cinq millions de comptes dans le monde depuis avril 2011.

Les données sont généralement obtenues en piratant un site ou un forum, ce qui donne aux pirates accés à toutes les informations des utilisateurs du site.

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