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Les géants du Web envisagent une coupure pour protester contre la loi SOPA

Pour protester contre le
projet de loi américain antipiratage SOPA
et alerter les internautes, les grands services en ligne, dont Google, Facebook et Twitter, envisagent une interruption coordonnée, un « blackout ».

Le projet de loi américain SOPA envisage d’accorder à l’administration américaine le pouvoir d’imposer aux intermédiaires techniques (FAI, moteurs de recherche, régies publicitaires… ) des mesures de rétorsion à l’encontre de sites considérés comme facilitant le téléchargement illégal.

Les grands noms des services en ligne:


Google


Facebook


Yahoo


Yahoo


Twitter


LinkedIn


Mozilla

– Autres…
y sont hostiles.

Pour protester contre cette initiative législative soutenue par les Majors et les studios hollywoodiens (
lobby
), et illustrer les risques de l’adoption d’un tel dispositif, le fondateur de Wikipedia Jimmy Wales suggérait une coupure de l’encyclopédie en ligne, un blackout.

Une menace risquée à mettre en oeuvre

D’autres sites, dont Google, Facebook, Twitter et
Amazone
, rassemblés dans la
NetCoalition
, envisagent désormais eux aussi de couper leurs services pour alerter les internautes sur les possibles conséquences de la loi SOPA.

Cette hypothése est confirmée par le responsable de la NetCoalition, Markham Erickson.

Citation:

« Ce genre de chose ne se fait habituellement pas, les entreprises ne souhaitant pas mettre leurs utilisateurs dans une telle situation.

Mais la différence est que ces lois changent fondamentalement le fonctionnement d’Internet, les gens doivent comprendre l’impact qu’une telle législation aura sur ceux qui utilisent Internet » commente-t-il.

Mais cette option apparaÓt néanmoins comme un dernier recours en raison des conséquences, lourdes, qu’elle aurait à la fois pour les internautes et les services en ligne participant au blackout (mécontentement, pertes de revenus, etc…).

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Le Parlement européen vote contre le traité anticontrefaçon ACTA au vote final

Au terme de plusieurs mois de vifs débats et de manifestations, et aprés une série de votes négatifs en commission, le Parlement européen a voté contre le traité de lutte contre la contrefaçon ACTA, par 478 voix contre, 39 voix pour et 165 abstentions.

Ce texte, négocié en secret entre une dizaine de pays (Europe, Etats-Unis, Japon…) instaurait un accord commercial visant à lutter contre la contrefaçon, tant physique que numérique.

Il proposait notamment de renforcer la lutte contre les médicaments contrefaits ou d’harmoniser les outils de répression contre le téléchargement illégal.

Mais pour de nombreuses associations de défense des libertés numériques ou de défense des malades du sida, le texte présentait des risques d’importantes dérives.

Sur la forme, d’abord:

Le fait que le texte ait été négocié en secret, loin du regard des élus, posait probléme.

Sur le fond, surtout, bien que la version finale du texte ait été débarrassée, de certaines de ses dispositions les plus controversées, il comportait des mesures inédites et jugées liberticides, comme une procédure simplifiée pour que les ayants droit puissent obtenir des fournisseurs d’accés à Internet l’identité des internautes suspectés de télécharger illégalement.

Divisions au sein du PPE

Les débats sur le texte ont révélé, mardi, qu’ACTA ne faisait pas non plus l’unanimité au sein des principales formations politiques du Parlement.

Au sein du Parti populaire européen (PPE), le traité a révélé l’existence d’une ligne de fracture importante entre les élus jugeant que le texte ne protégeait pas assez les libertés fondamentales et les partisans du texte, qui estimaient que le traité, même imparfait, était nécessaire pour améliorer la protection du droit d’auteur en Europe.

Ces divisions internes recoupaient en partie des divisions par pays:

Ainsi, les élus PPE néerlandais ou italiens avaient fait part, en bloc, de leurs importantes réserves sur le texte.

En raison de ces divergences internes, la position commune du principal groupe de droite a changé à plusieurs reprises dans les heures précédant le vote, pour finalement s’établir sur un vote libre, sans consigne de vote de groupe.

Les partisans du texte au sein du PPE avaient tenté, en dernier recours, d’obtenir un report du vote en séance pléniére, sans succés ; au final, de nombreux élus du PPE ont fait le choix de l’abstention.

Pour les opposants au traité, le vote est une victoire nette.

Citation:

Surtout, « le texte a permis d’ouvrir un grand débat public, y compris à l’intérieur du PPE, sur la nécessité d’une réforme du droit de la propriété intellectuelle en Europe », se félicite Jérémie Zimmermann, porte-parole du collectif la Quadrature du Net, trés impliqué dans la mobilisation conter ACTA.

« Ces débats ont également montré ce que peut faire la mobilisation citoyenne, il y a eu des millions d’e-mails envoyés aux députés, des dizaines de milliers de coups de téléphone, c’est un véritable sursaut démocratique. »

Pour les défenseurs des libertés numériques, le rejet d’ACTA constitue une étape de plus, quelques mois aprés l’ajournement sine die des projets de loi PIPA (Protect Intellectual Property Act) et SOPA (Stop Online Piracy Act) aux Etats-Unis, qui visaient à renforcer la protection du droit d’auteur au détriment, pour leurs détracteurs, des droits fondamentaux des citoyens.

Pour M. Zimmermann, il s’agit bien d’un mouvement global, international.

[quote] »Il n’y a pas un Internet américain, un Internet européen, la carte des Internets n’a pas de bordures, aujourd’hui, on assiste à une mobilisation globale, un réseau dans lequel chacun de nous est un noeud.

C’est cette leçon-là qui doit durer au-delà d’ACTA. »

Voir aussi:

L’ACTA, la future loi mondiale anti-piratage ?

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(vidéo) Crainte au sujet du projet de loi INDECT

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(vidéo) Crainte au sujet du projet de loi INDECT

Le projet « Indect », un systéme de sécurité publique numérique ou une collecte de données qui va porter atteinte à notre vie privée ?

Depuis quelques heures, une vidéo revient sur le projet INDECT, elle est signée par les Anonymous, cette vidéo explique les dangers dêIndect (Intelligent Information System Supporting Observation, Searching and Detection for Security Citizens in Urban Environnement).

Un systéme numérique qui, sur le papier, ne serait qu’un outil de plus, pour nous protéger du monde mauvais, dans notre éco systéme devenu l’anti chambre de Big Brother.

Anonymous indique que Indect « n’est pas uniquement la collecte des données qui porte atteinte à la vie privée.

En réalité, c’est seulement une société de contrôle de nos vies qui est en préparation, en toute logique, le contrôle général de notre vie privée par des autorités nationales et internationales provoquera à long terme, la disparition de notre société.

Les termes  »
ACTA
« ,  »
SOPA
« ,
PIPA
« , « 
INDECT
 » ou « IPRED » ne sont que des mots, les passeports, les données de comptes, profils de déplacement et de communication en sont déjà les instruments.

Le déclin des valeurs fondamentales, dont l’Europe se réclame à bon compte, n’est pas seulement renforcé par le développement d’une politique de sécurité ces derniéres années, la véritable volonté des politiciens de l’Union Européenne, à l’extérieur comme à l’intérieur de ses frontiéres, démontre que ses valeurs sont largement orientées vers l’avidité du profit et du pouvoir. »

Le groupe de cybers citoyens termine son propos par un appel à réaction:

Citation:

« Comme vos ancêtres avant vous, engagez-vous pour vos droits!
Citoyens de l’Union Européenne, avant de plonger dans de sinistres temps o? nos gouvernements n’auront plus besoin de nos consentements pour tout savoir de nous, de nos familles, de nos fréquentations et de nos habitudes, montrons leur qui nous sommes en réalité. »

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L’Acta une nouvelle fois rejeté par les parlementaires européens

La commission du commerce international du Parlement européen a recommandé jeudi le rejet du traité Acta, par 19 voix contre 12.

Citation:

« Je me félicite du résultat du vote d’aujourd’hui, je suis ravi que la commission parlementaire ait reconnu les problémes que j’ai identifiés dans mon rapport et qu’elle ait suivi ma recommandation de rejeter l’Acta », a déclaré le rapporteur David Martin aprés l’annonce des résultats.

Quatre autres commissions du Parlement européen avaient déjà rejeté l’accord commercial anti-contrefaçon, Libertés civiles, Industrie, Affaires juridiques et Développement.

Mais la commission du commerce international est la seule compétente sur le dossier et sa recommandation est un camouflet infligé à la Commission européenne, qui a saisi la Cour européenne de Justice pour avis et demandait de différer le vote en pléniére jusqu’à ce que la Cour se prononce.

Les élus ont rejeté cette demande par également 19 voix contre 12.

L’Acta a été signé le 26 janvier 2012 à Tokyo par 22 des 27 gouvernements de l’Union européenne et les Etats-Unis, le Japon, le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, Singapour, la Corée du Sud, la Suisse, le Mexique et le Maroc.

L’accord vise à lutter contre la contrefaçon au sens large, des médicaments et autres marchandises jusqu’au téléchargement illégal sur internet.

Si tous les députés s’accordent sur la nécessité de lutter contre la contrefaçon et de protéger la propriété intellectuelle, certains craignent que le traité mette en danger les libertés individuelles des citoyens européens.

Plusieurs pays, parmi lesquels l’Allemagne, l’Autriche, la Pologne, la République tchéque, la Roumanie ou la Slovénie, ont déjà gelé les travaux préparatoires en vue de la ratification de l’accord.

Acta pose les bonnes questions mais apporte de mauvaises et dangereuses réponses.

Citation:

« Certes, il faut protéger la propriété intellectuelle et lutter contre le fléau de la contrefaçon, mais cela ne peut se faire sans concertation démocratique, ni sous la houlette de quelques grandes multinationales, et ce, au mépris des libertés individuelles de 500 millions de citoyens européens », a commenté l’eurodéputé socialiste belge Marc Tarabella, hostile au texte.

Le vote final sur Acta aura lieu le 4 juillet 2012 au Parlement européen.

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Acta la neutralité du Net fragilisée à Bruxelles

L’entrée en vigueur de cette loi dans l’Union européenne dépend d’une ratification par le Parlement européen mais également par les Parlements des …tats membres.

L’esprit répressif du traité anticontrefaçon pourrait survivre à une non-ratification par le Parlement européen.

Neelie Kroes est-elle allée un peu vite en besogne ?

La semaine derniére, la commissaire européenne, en charge du numérique à Bruxelles, avait déclaré que la ratification du traité anticontrefaçon Acta (Anti-Counterfeiting Trade Agreement) par le Parlement européen était peu probable.

Ce texte, négocié entre 39 pays, dont l’Union européenne et ses …tats membres, les …tats-Unis, l’Australie, le Canada, la Corée et le Japon, pour renforcer leur coopération dans la lutte contre la contrefaçon, a en effet suscité beaucoup d’opposition, sur la Toile et dans les rues d’abord, dans les hémicycles ensuite.

Au coeur des inquiétudes:

Acta représenterait une menace pour la liberté d’expression et pourrait ouvrir la porte à un filtrage d’Internet.

Le texte indique ainsi vouloir « promouvoir la coopération entre fournisseurs de services et détenteurs de droits afin de s’attaquer aux atteintes relatives aux droits dans l’environnement numérique ».

Son entrée en vigueur dans l’Union européenne dépend d’une ratification par le Parlement européen, ainsi que par les Parlements des …tats membres.

En France, l’alternance politique devrait déboucher sur un rejet du texte.

Mais le sort d’Acta est loin d’être scellé.

Hier, le Parlement européen organisait, à Bruxelles, une table ronde sur la compatibilité d’Acta avec les droits fondamentaux, à cette occasion, un représentant de la Commission européenne a rappelé qu’elle attendait l’avis de la Cour de justice européenne, saisie par la Commission, pour soumettre à nouveau le texte au Parlement.

Le vote en pléniére est prévu le 3 juillet 2012, par ailleurs, l’esprit du texte (qui prévoit des mesures répressives pour protéger la propriété intellectuelle) pourrait survivre au « 
traité Acta
« .

C’est la crainte de l’eurodéputée Françoise Castex (PS), qui s’exprimait lors d’un point presse organisé au même moment par le bureau d’information du Parlement européen à Paris.

Citation:

« Il y a une coÔncidence chronologique entre la négociation du traité Acta, le vote de la loi « 
Hadopi
 » en France et les propositions de loi « 
sopa
 » et « 
Pipa
 » aux …tats-Unis », a-t-elle souligné.

Pour elle, l’enjeu de tous ces textes est de contrôler Internet pour assurer une maÓtrise de royalties aux ayants droit.

Citation:

« Le probléme de contrefaçon des biens est grave et il faut protéger le droit d’auteur, convient Françoise Castex, mais donnons d’abord nos propres normes au niveau européen. »

Sauf que le Parlement européen n’est pas à l’initiative des lois.

Les anti-Acta misent donc sur la révision de la directive sur la propriété intellectuelle pour fixer un cadre européen qui protégerait à la fois la neutralité du Net et la rémunération des créateurs.

Un dossier aux mains du commissaire européen Michel Barnier, qui doit lancer une consultation sur le sujet en juin.

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Le Canada renforce la surveillance d’Internet

Le gouvernement canadien a présenté, mardi 14 février 2012, un projet de loi donnant à la police plus de droits pour surveiller les communications sur Internet.

Ce projet attire les critiques de l’opposition et de défenseurs des libertés, rapporte notamment le quotidien Le Devoir.

Le gouvernement conservateur a présenté cette initiative comme un moyen indispensable de combattre la pornographie infantile sur le Web, citant des exemples de fournisseurs d’accés qui n’ont livré les renseignements demandés qu’au bout de plusieurs jours.

Citation:

« Les nouvelles technologies offrent de nouveaux moyens de commettre des crimes, qui rendent les enquêtes plus difficiles », a déclaré le ministre de la justice, Rob Nicholson, lors d’une conférence de presse.

Le texte autorise notamment un agent de police à installer, sans mandat judiciaire, un dispositif permettant de relever l’adresse IP d’un internaute, il impose aussi aux fournisseurs d’accés de recueillir et garder certains renseignements.

Vive critique de l’opposition

Les conservateurs du premier ministre, Stephen Harper, disposant de la majorité au Parlement, la loi devrait être adoptée sans difficulté.

Les partis d’opposition et les groupes de défense des libertés civiles ont affirmé de leur côté que le texte offrait à l’Etat trop de possibilités de s’ingérer dans la vie privée des internautes.

La commissaire à la protection de la vie privée Jennifer Stoddart, qui ne dépend pas du gouvernement, a adressé en octobre 2011, une lettre au ministre de la sécurité publique, Vic Toews, pour lui faire part de sa « profonde inquiétude ».

Citation:

« En renforçant le dispositif légal de l’Etat en vue de surveiller les contenus privés et d’y accéder, et en réduisant le contrôle judiciaire », la loi permettra au gouvernement de « soumettre plus de personnes à une surveillance minutieuse », a-t-elle écrit.

(source;lemonde)

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Des centaines de manifestations contre le traité Acta dans le monde

Dans plusieurs pays européennes hier des dizaines de milliers de personnes ont manifesté contre la signature d’un traité international controversé l’ACTA (Anti-Counterfeiting Trade Agreement.

Ce traiter vise à lutter contre le piratage de produits et de contenus soumis aux droits d’auteur.

Alors que le Japon, l’Australie, le Canada et les …tats-Unis font partie des nations ayant signé le traité à l’automne, plusieurs pays européens n’ont pas encore signé l’entente et de plus en plus de mouvements d’opposition se font sentir.

Parmi les craintes des opposants notons la possibilité de surveillance des activités en ligne digne de Big Brother et l’obligation des FAI (fournisseurs d’accés Internet) à fournir aux supposées victimes de piratage les coordonnées des supposés pirates.

Plus de 25.000 personnes ont bravé le froid en Allemagne samedi, environ 4.000 en Bulgarie dont certaines portant le fameux masque de Guy Fawkes utilisé entre autres par le groupe Anonymous, des manifestations ont également eu lieu à Prague, Paris, à Warsaw, en Roumanie et en Croatie, entre autres.

Déjà à la fin de cette semaine, l’Allemagne faisait part de ses réserves face au traité et annonçait son intention de ne pas le signer pour le moment.

La maniére dont le traité a été négocié secrétement est également dénoncée par plusieurs associations et formations politiques.

L’Union européenne a signé le texte fin janvier 2012, mais ce dernier doit encore être ratifié dans les différents pays de l’Union et soumis à un vote du Parlement européen.

La Pologne, la République tchéque et la Lituanie ont d’ores et déjà gelé le processus de ratification, estimant que le texte devait être davantage étudié avant toute signature.

Le rapporteur du texte au Parlement, le socialiste Kader Arif, avait démissionné de son poste de rapporteur, dénonçant une « mascarade », il a été remplacé par le britannique David Martin.

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Bras de fer entre Megaupload et Universal Music

En général, ce sont les ayants droits de l’industrie de la musique ou du cinéma qui portent plainte contre les sites de téléchargement, accusés de favoriser le piratage.

Mais ici c’est bien Megaupload, l’un des sites d’hébergement de fichiers les plus populaires, qui envisage de porter plainte contre Universal Music aux Etats-Unis, annonce le site spécialisé TorrentFreak, lundi 12 décembre 2011.

La semaine derniére, Megaupload a organisé une campagne de publicité, sous forme de clip musical.

Plusieurs artistes, comme P. Diddy, Will.I.Am, ou Snoop Dogg, contribuent à cette campagne de communication, expliquant qu’ils utilisent réguliérement le service.

Une vidéo, intitulée The Mega Song, a été mise en ligne sur YouTube et largement diffusée sur les réseaux sociaux.

Vifs débats sur le piratage

Citation:

Mais le clip a été bloqué sur la plate-forme de vidéos en ligne, à la demande des ayants droit. « Rien, dans notre chanson ou dans la vidéo n’appartient au groupe Universal Music.

Nous avons signé des accords avec tous ces artistes », dénonce un responsable de Megaupload, sur TorrentFreak.

Les artistes sous contrat n’ont pas le droit de faire la promotion d’une tierce partie sans le consentement de leur label, si Megaupload possédait bien les autorisations nécessaires, une telle entorse pourrait mettre les intéressés en porte-à-faux avec leur maison de disques.

Cette affaire intervient alors que les autorités américaines examinent le projet de loi SOPA (Stop Online Piracy Act), un texte qui permettrait notamment le blocage direct des sites suspectés de faciliter le piratage.

Clic pour voir la plainte de Megaupload
(fichier .PDF – anglais)

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